vendredi 17 août 2018

De musulmans aun assassinat lou president del clu d'escacs d'Issouire

               
                 Coumunicat del clu d'Escacs



Plongé dans le coma suite à son agression, Olivier Tomas est décédé.
Ce quadragénaire, père de famille, s’était courageusement interposé dans la nuit du 13 au 14 juillet entre les clients d’un bar et un groupe de « jeunes » qui leur demandaient avec insistance des cigarettes. L’homme avait reçu de nombreux coups, notamment un à la tempe, porté avec des ciseaux.

Olivier était artisan et président du club d'échecs de la ville d'Issoire. Olivier était un grand esprit, à la fois dans la pratique et dans l’abstraction.
Les échecs sont plus qu’un jeu, c’est une bataille entre deux esprits. Lequel des deux saura lire avec le plus de justesse dans le jeu de son adversaire? Lequel projettera son esprit le plus loin sur l'échiquier?
Ces « jeunes » n’ont probablement jamais joué aux échecs. Leur truc à eux, c’est plutôt la fumette, le foot à la télé et les embrouilles. Ils n’ont aussi certainement jamais rien construit de leurs mains si ce n'est rouler des joints. Leur capacité de projection dans l’espace restera sans doute limitée à la cour d’immeuble où ils dealent du shit. Leur capacité de calcul restera quant à elle bornée à l'évaluation du montant des aides sociales qu'ils pourront espérer toucher sans rien branler en plus de leurs profits sur le haschisch.

Olivier a cru parler à ces « jeunes » comme il parlerait à son fils. Il a cru que des mots intelligibles suffiraient à les calmer. C’était une erreur qu'il a payé de sa vie.

Nous ne vivons plus dans les années 70. Ces jeunes sont drogués, mal éduqués, sauvages, il n’ont pas la même culture, pas les même codes moraux que les nôtres.

Si vous comptez vous interposer avec des « jeunes », il faudra vous-même être armé d’un couteau, d'une matraque ou d’une arme improvisée trouvée dans la rue. Il faudra leur montrer qu'en cas d'attaque, vous n'hésiterez pas une seule seconde à vous en servir.

Ils doivent percevoir le danger, le prédateur dans vos yeux. Sinon, mieux vaut ne pas s’interposer comme un kamikaze, mieux vaut attendre la police.

Si ces « jeunes » vous voient désarmé, avec un regard d'agneau, ils vous massacreront. Ne les laissez pas déployer leur barbarie.

Vous n’avez pas affaire à des hommes civilisés mais à des bêtes sauvages qui traquent les proies faciles. Votre vie est précieuse pour la France et vaut plus que vingt des leurs. Vous ne pouvez pas vous permettre de la perdre inutilement.

Bref, encore une nouvelle victime de « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » par des chances pour la France.

La racalho dalho l'exceléncio umono, un cop de mai.
Quel gâchis.

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